2nd Russian Film Week in Paris : Regards de Russie
Paris (France) - 04 November 2004 - 09 November 2004
http://cinema-russe-paris.ru/fr/
Films of the year
Voditel dlya Very
Voditel dlya Very, 2004

(Водитель для Веры)


Pavel CHUKHRAY
(Павел ЧУХРАЙ)

Pavel CHUKHRAY
Vremya zhatvy
Vremya zhatvy, 2004

(Время жатвы)


Marina RAZBEZHKINA
(Марина РАЗБЕЖКИНА)

Marina RAZBEZHKINA
Masha
Masha, 2004

(Маша)


Sergey TKACHOV
(Сергей ТКАЧЁВ)

Sergey TKACHOV
Moy svodny brat frankenshtein
Moy svodny brat frankenshtein, 2004

(Мой сводный брат Франкенштейн)


Valery TODOROVSKY
(Валерий ТОДОРОВСКИЙ)

Valery TODOROVSKY
Svoi
Svoi, 2004

(Свои)


Dmitry MESKHIEV
(Дмитрий МЕСХИЕВ)

Dmitry MESKHIEV
Papa
Papa, 2004

(Папа)


Vladimir MASHKOV
(Владимир МАШКОВ)

Vladimir MASHKOV
Ragin
Ragin, 2004

(Рагин)


Kirill SEREBRENNIKOV
(Кирилл СЕРЕБРЕННИКОВ)

Kirill SEREBRENNIKOV
Ruskoe
Ruskoe, 2004

(Русское)


Aleksandr VELEDINSKY
(Александр ВЕЛЕДИНСКИЙ)

Aleksandr VELEDINSKY
Igry motylkov
Igry motylkov, 2003

(Игры мотыльков)


Andrey PROSHKIN
(Андрей ПРОШКИН)

Andrey PROSHKIN
O liubvi
O liubvi, 2003

(О любви)


Sergey SOLOVYOV
(Сергей СОЛОВЬЕВ)

Sergey SOLOVYOV

Other films

Documentaires

Programmation organisée avec la participation de ARTE

1. Russie : Le pouvoir et le cinéma 1

1.1. 1905-1991 : cinéma et révolution (1re partie)

Documentaire de Belkacem Bazi et William Aldridge, France, 1999-50mn

Coproduction : La Sept ARTE, Films du Bouloi, avec la participation de Starlight

Synopsis :

Des premiers élans révolutionnaires à la Perestroïka, ce documentaire retrace cent ans d’un cinéma russe, puis soviétique, toujours étroitement lié au pouvoir politique.

Etayée d’images d’archives et de photos d’époque, la première partie interroge la spécificité d’un cinéma russe sous contrôle idéologique et les motivations de cette confiscation par l’Etat. Des récits inédits de témoins et des professionnels, des extraits de films d’une grande rareté, ainsi que des manuscrits et des dessins de réalisateurs illustrent les splendeurs et les déboires de cette histoire passionnante.

1.2. 1991 (2ème partie)

Documentaire de Belkacem Bazi et William Aldridge, France, 1999-55mn

Coproduction : La Sept ARTE, Films du Bouloi, avec la participation de Starlight

Synopsis :

Depuis la dissolution de l’URSS en 1991, la production et la distribution cinématographiques sont en pleine déroute. A travers des extraits de films et des témoignages, cet épisode dépeint un univers désolant, où la censure est désormais financière…

Malgré tout, une production indépendante et originale s’est structurée peu à peu, d’ou émergent des talents tels que Balabanov ou Mikhalkov.

2. Russie : Le pouvoir et le cinéma 2

2.1. De Nicolas II à Staline (1re partie)

Documentaire de Belkacem Bazi et William Aldridge, France, 1999-52mn

Coproduction : La Sept ARTE, Films du Bouloi, avec la participation de Starlight

Synopsis :

Des réalisations « à la française » du régime tsariste aux premiers films de propagande sous Staline, une extraordinaire effervescence créatrice marque les débuts du cinéma russe.

2.2. Le réalisme socialiste (2 ème partie)

Documentaire de Belkacem Bazi et William Aldridge, France, 1999-52mn

Coproduction : La Sept ARTE, Films du Bouloi, avec la participation de Starlight

Synopsis :

De 1934 à la mort de Staline, les cinéastes doivent accepter la standardisation de leurs œuvres et tournent des films au service de l’idéologie et de la patrie. Une période académique où naissent pourtant des œuvres remarquables.

2.3. De l'URSS à la Russie (3 ème partie)

Documentaire de Belkacem Bazi et William Aldridge, France, 1999-56mn

Coproduction : La Sept ARTE, Films du Bouloi, avec la participation de Starlight

Synopsis :

Du dégel à la perestroïka, les pas hésitants de la déstalinisation et la remise en question des rapports entre la création et le pouvoir.

3. Cinéma de notre temps : Une journée d'Andrëi Arsenevitch

Réalisateur : Chris Marker, France, 2000, 55 min

Audiovisuel Multimédia International Production, Coproduction avec ARTE

Synopsis :

Une évocation magistrale de la vie et de l’œuvre d’Andrei Tarkovski, disparu en 1986.

Le titre du documentaire est un clin d’œil à Soljenitsyne, certes, mais surtout fait écho à cette URSS qui, au bord de l’agonie, exilait encore ses plus grands artistes – lesquels, à l’heure de la modernité dévastatrice, en demeurent paradoxalement les seuls témoins. Chris Marker montre combien l’hommage de Tarkovski à la terre russe est éloigné des pesanteurs formelles et idéologiques du réalisme socialiste.

4. Elégie de la traversée

Réalisateur : Alexandre Sokourov, France, 2001, 45 min

Coproduction : Idéale Audience, en association avec ARTE

Synopsis :

Dans les difficultés de l’après communisme, en Russie, la question du lien avec l’Europe taraude les intellectuels et les artistes.

Dans cette nouvelle élégie, à sa manière si personnelle, il pose une question centrale : les visages de nos contemporains, les paysages de l’Europe du nouveau millénaire, portent-ils encore vivante la trace de cette « idée de l’Europe » qui, pour Sokourov, rime avec équilibre et harmonie ?