Les fragiles épaules d’une femme russe, tout particulièrement
si elle exerce le métier viril de cheminot,
sont capables de tout supporter :
un lourd marteau comme un mari bon à rien et les
tragédies de la vie. Et dans ses yeux brilleront malgré
tout l’amour et l’optimisme.
Univerciné, Nantes, 2009