Un homme mystérieux arrive dans une ville de province pour enseigner à l'école. Il ne ressemble pas à un professeur et ses idées semblent trop prétentieuses et innovantes. Mais les habitants de la ville l’aiment. En fait il ne se doute pas à quel point.
https://poitiersfilmfestival.
com/wp-content/uploads/sites/2/2019/11/catalogue-2019-poitiersfilmfestival.pdf
Commentaires et bibliographie
La première production d'Olessia Iakovleva, Mamina Radost (La joie de maman, 2017), traitant de l’amour trop étouffant d’une mère pour son enfant, avait déjà été présentée dans divers festivals. S’il s’agit ici de son troisième court métrage, elle n’a cependant pas souhaité en décrire le sujet, préférant laisser aux spectateurs toute la liberté d’interprétation après visionnage. On sait toutefois d’ores et déjà que le rôle principal a été confié à Nikolaï Komiaguine, vocaliste du groupe musical saint-pétersbourgeois Shortparis.
https://fr.rbth.com/art/82770-festival-cannes-2019-court-metrage