Maria IVANOVA SURAE
Мария ИВАНОВА СУРАЕ
Mariya IVANOVA SURAE
Russie / Liban / Roumanie, 2022, long métrage 
fiction
Je ne suis pas un Lakit
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Я не Лакит

 

 I'm not Lakit

 Ya ne Lakit

 
Réalisation : Maria IVANOVA SURAE (Мария ИВАНОВА СУРАЕ)
Scénario : Maria IVANOVA SURAE (Мария ИВАНОВА СУРАЕ)
Images : Marius PANDOUROU (Мариус ПАНДУРУ)
Produit par : Maria IVANOVA SURAE (Мария ИВАНОВА СУРАЕ)
Production : Scoop Production; Né à Beyrouth Films; Avanpost Media
 
Site : lorientlejour.com

A noter :
En cours de production

Synopsis
Le film est un long métrage de fiction avec des éléments documentaires. Au centre du film la vie de Salekh dans un foyer, ses souffrances et le drame personnel du héros. "Dans un pays où l'essentiel est ton nom de famille, ta lignée, ta religion et ta nationalité, ces personnes en sont privées.
Le héros du film de Maria Ivanova Surae est une personnage réel. Il s'appelle Salekh et est un lakit. Un bâtard, un enfant abandonné. Dans certains pays d'orient la loi stipule que les enfants nés de femmes non mariées n'ont pas droit à une vie officielle, c'est comme s'ils n'avaient pas d'existence. Ils n'ont pas le droit de porter un nom de famille, d'avoir des papiers, d'aller à l'école, de sortir du pays. La plupart du temps les mères de ces enfants les ont abandonnés simplement dans la rue et personne n'a le droit de les adopter. Ces enfants grandissent dans des orphelinats ou dans la rue. Ils n'ont accès à aucune des possibilités du monde moderne. la seule chose qui leur reste est la vie.
 

Commentaires et bibliographie
 
Maria Ivanova Surae est rentrée chez elle après avoir tourné la partie documentaire du film "Je ne suis pas un Lakit" qui aborde le sujet des orphelins au Liban (Lakit signifiant bâtard, NDLR) et réalisé un repérage dans les orphelinats. Elle reviendra de nouveau en juillet-août pour réaliser la seconde partie qui relève de la fiction. « Les films de fiction sont plus faciles à réaliser, indique-t-elle, parce que les documentaires ne sont pas prévisibles. Ils réservent chaque jour une surprise. Dans les documentaires, tout n’est pas sur papier mais dans le cœur. » Tandis que Je ne suis pas un Lakit sortira l’an prochain, The Anger fait son chemin internationalement et dans les festivals.
https://www.lorientlejour.com/article/1264566/maria-ivanova-surae-jai-deux-amours-le-cinema-et-le-liban.html
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" J'ai toujours été intéressée par les sujets qui me permettent de creuser un problème, de comprendre le héros de mon film, de changer quelque chose, d'apporter mon aide. J'ai découvert en janvier de cette année ce qu'étaient les lakits et ai été aussitôt intéressée par ce sujet. Comment dans une société moderne peuvent exister des gens qui n'ont aucun droit même pas celui de porter un nom de famille ?! Le Liban est un état multiconfessionnel avec une population de 4,5 millions d'habitants. Et la loi interdit d'adopter des lakits. Les organisations de défense des droits de l'homme se battent pour changer la loi." Maria Ivanova Surae, réalisatrice et productrice.
"Dans un pays où l'essentiel est ton nom de famille, ton clan, ta religion et ta nationalité, ces personnes sont privées de tout cela. J'ai été tellement sidérée que cela se produise dans le monde actuel que j'ai aussitôt décidé d'aborder ce sujet et d'en faire un film." Maria Ivanova Surae.
http://www.press-release.ru/branches/culture/rossiyskiy_rezhisser_snimaet_v_livane_film_pro_lakita_02_06_2021_10_53/

Sélections dans les festivals ou événements :
- Festival international du film de Transylvanie : TIFF, Cluj Napoca (Roumanie), 2021