Au début de la guerre froide, la base d'Esquimaux de Naukan au cap Dejnev a été fermé. Les habitants ont été déplacés loin de le frontière ce qui a marqué le début de la disparition d'un peuple dont en 1996 il ne restait plus que 75 individus. Dans le film on peut entendre des vers de la poétesse Zoïa Nenlioumkina.