The films of Artavazd Pelešjan, documentaries or semi-documentaries, “don’t have subjects in the traditional sense and they don’t have central characters. The theme of ever single film is pretty difficult to define”. Every one of his films is monumental notwithstanding how brief they can be. Žizn’ (1993) represents a small portrait of the existence of humanity.
Source : www.labiennale.org
" Le profil d'une femme, tendu, défiguré – comme dans la jouissance – ainsi qu'en amorce, des gestes ancestraux. Le port de l'enfant qui vient de naître, magnifié par un ralenti, une contreplongée et l'abstraction de l'espace qui l'entoure, évoque une iconographie religieuse tout comme le portrait de la mère et l'enfant. " (Jacques Kermabon).
Source : www.cineclubdecaen.com